Les chauffeurs de taxi de Montréal redoublent d'originalité pour tenter de faire compétition à Uber. Certains ont même commencé à vendre des friandises, de l'alcool ou même des cigarettes directement de leur voiture.
Les pertes engendrées par l’arrivée du service Uber à Montréal créent des maux de tête à plusieurs chauffeurs de taxi. Pour arriver à boucler les fins de mois, Hassan Kattoua a décidé d’offrir un service bonifié à ses clients.
«Pour maximiser nos revenus et combattre le transport illégal, qui nous a fait perdre 50% de nos revenus. Comme ça, on peut faire plus d’argent. C’est le principe d’économie de partage», dit-il.
Ainsi, les clients peuvent se procurer des cigarettes, de la bière, du vin et des bonbons à bord d’une voiture taxi et à des prix plus bas. Le hic: aucun chauffeur ne détient de permis pour vendre des produits du tabac ou de l’alcool.
Le Bureau du taxi soutient d'ailleurs que cette initiative est strictement illégale et que ses employés s'exposent à une amende salée.
«Je pense que les politiciens doivent être plus intelligents que ça. Ils savent que je fais cela pour démontrer l’illégalité [du service Uber]. Parce que la loi, au Québec, ne peut pas s’appliquer pour l’un et pas pour l’autre», croit M. Kattoua.
Il y aurait cinq taxipanneurs dans la région de Montréal.
Source: tvanouvelles.ca
Les pertes engendrées par l’arrivée du service Uber à Montréal créent des maux de tête à plusieurs chauffeurs de taxi. Pour arriver à boucler les fins de mois, Hassan Kattoua a décidé d’offrir un service bonifié à ses clients.
«Pour maximiser nos revenus et combattre le transport illégal, qui nous a fait perdre 50% de nos revenus. Comme ça, on peut faire plus d’argent. C’est le principe d’économie de partage», dit-il.
Ainsi, les clients peuvent se procurer des cigarettes, de la bière, du vin et des bonbons à bord d’une voiture taxi et à des prix plus bas. Le hic: aucun chauffeur ne détient de permis pour vendre des produits du tabac ou de l’alcool.
Le Bureau du taxi soutient d'ailleurs que cette initiative est strictement illégale et que ses employés s'exposent à une amende salée.
«Je pense que les politiciens doivent être plus intelligents que ça. Ils savent que je fais cela pour démontrer l’illégalité [du service Uber]. Parce que la loi, au Québec, ne peut pas s’appliquer pour l’un et pas pour l’autre», croit M. Kattoua.
Il y aurait cinq taxipanneurs dans la région de Montréal.
Source: tvanouvelles.ca